Coronavirus Paralyse l’organisation des événements au Cameroun
Même s’ils peuvent comprendre les motivations des mesures du gouvernement, les événementiels Camerounais ne sauraient nier leurs désolations. Le report de leurs événements aux dates ultérieures pour causes de Coronavirus est un coup très difficile chez nombreux d’entre eux.
Les pleurs des événementiels, suite au Covid19
Depuis la publication du communiqué du premier ministre chef du gouvernement Camerounais en Mars 2020, beaucoup événements se sont vus bousculer ou annuler à des dates inconnues. Une telle situation qui met en mal les projets événementiels entraînant ainsi d’énorme manque gagner. Ils sont des acteurs de divers domaines qui pleurent. Que ce soit du côté des organisateurs, des acteurs eux-mêmes ou des spectateurs (Fans) la situation est compliquée. Que des soupirs « Humm !! Coronavirus est venu tout faire tomber à l’eau ».
D’énormes dépenses pourtant engagées
Pour certains dont les événements étaient proches, c’est une perte totale car des dépenses étaient déjà engagées. Tout était pourtant déjà déployé, tant sur le plan parténarial, communicationnel, infra structurel etc. D’autres avaient même déjà mis en vente des billets d’accès aux différents événements et puis Boom tout est à refaire. Tout est en stand-by, tout tourne au ralenti. Bref, c’est un temps mort total. Un coup vraiment difficile pour ceux-là qui s’étaient déjà donner à fond et avaient engagé des importants investissements. Et pour ceux qui s’étaient engagés dans des projets sûrs et bien structurés avec les institutions gouvernementales, à des périodes et durées bien déterminées , l’espoir est presque cassé et mis aux oubliettes. L’on se pose la question de savoir « Tel ou tel contrat restera-t-il valide après la Covid19 ? ». Une question qui fait d’office penser à une année blanche.
Réactions des amoureux du Football
Coup dure également pour les adeptes du ballon rond et des paris sportifs. Que des murmures plus rien est certain. Les événements d’envergure se sont vus reporter à l’instar du CHAN2020, que le Cameroun s’apprêtait à recevoir du 04 au 25 Avril. Sur les rues, les réactions sont les mêmes. Matchs reportés et d’autres annulés. A Douala, Yaoundé et partout au mboa, les kiosques sont vides. Pas la moindre graine de « Parifooteurs ». Le confinement impose à tous et à toutes, un chômage forcé. J’ai même été débordé par ces propos d’un parieur : « Le Coronavirus nous a tous mis au chômage »
Malgré ce vent péjoratif et brute que leurs impose cette « troisième guerre mondiale », les rêves perdurent, les espoirs demeurent. D’autres y trouvent d’ailleurs un moyen pour se reposer et s’occuper de leurs petites familles.
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