[Interview] A la rencontre de K-ZO, rappeur Camerounais au talent incalculable – Tamtam Du Mboa

Le talent est une grandeur sans unité et celui de K-ZO est inestimable et inquantifiable. En effet ce jour nous sommes allés à la rencontre de K-ZO, un jeune rappeur Camerounais, auteur compositeur et fondateur du concept « Le Lendemain », que nous vous invitons à découvrir au cours de cet entretien.

Bonsoir K-ZO bienvenu dans le Tamtam du Mboa

Bonsoir Olivier Charly, bonsoir Tamtam du mboa et bonsoir à vous qui me lisez en ce moment.

Alors comme le public qui te lit, je suis très impatient de te découvrir. Dit-nous qui est K-ZO et d’où nous vient –il ?

Je suis Dibobe Matanda Ulrich Delor, connu sur le nom d’artiste K-ZO. Jeune camerounais de père Matanda Floriant Simon et de mère Ticky Jeanne Irène. Je suis né à Akwa-Douala (Ancienne porte Laquintanie) où je vis d’ailleurs jusqu’à présent. voilà

K-ZO, tu aborde le monde de la musique très tôt. Est-ce  que tu peux nous parler de cet amour prématuré ?

Oui ma passion pour la musique est très prématurée. Je la tiens de ma famille et de mon entourage. En effet, je suis né dans une famille de musiciens. Et j’ai été atteint du venin de la musique par le biais de mon grand frère Sonny Mitch lui aussi musicien.

Et dans quel registre musical t’exprimes- tu?

Je suis un rappeur et donc mon registre musical c’est le rap.

Et pourquoi avoir choisi le Rap plutôt que le Makossa, le Bikutsi ou un autre style

J’ai choisi le rap par amour, Par passion. Bref, il était déjà en moi. Je l’ai juste développé.

Comment la famille et l’entourage de K-ZO prennent-ils la chose?

Plutôt bien, parce que  comme je l’ai dit tout à l’heure, je suis issu d’une famille de mélomanes. Donc j’ai le soutien absolu de mon entourage, ma famille, les amis. Et vraiment ça me va droit au cœur car, je sens que je ne suis pas seul. Je suis entouré par des gens qui m’encouragent énormément.

Waouuh quel chaleur ! Mais K-ZO, vis-tu de ton Art ?

Non pas pour le moment. Parce que je suis un jeune musicien à ses débuts, un jeune artiste qui cherche juste à être épaulé et à émerger. Je fais encore mes premières classes dans la musique. Mais j’ai espoir que cela arrivera.

Mais si K-ZO ne vit pas de la musique, de quoi vit –il ?

K-ZO comme tout jeune, vit de ses petites activités qu’il exerce au quotidien. Même s’il y’a des petits shows de temps à autres ce n’est pas suffisant.

Courage K-Zo!

Merci !

Alors K-ZO tu es porteur d’un projet intitulé « Le Lendemain » qui fait d’ailleurs l’unanimité chez tes fans. Est-ce que tu peux nous en dire plus sur ce projet ?

Hummm ! « Le Lendemain », c’est mon tout premier projet musical que j’ai mis sur le marché. Il est arrangé par Modibo et réalisé par OSON image (Sonny Mitch). C’est un single dans lequel j’invite tous mes frères à batailler dure pour un lendemain meilleur. Un véritable « Hymne à l’espoir »dans lequel chaque jeune, du Nord au Sud et de l’Est à L’Ouest devrait se sentir indexé. D’ailleurs dégustez le clip officiel que voici.

K-ZO aurait- il d’autres rêves dans la vie ?

Oui, oui ! J’ai plein d’autres rêves. Je travaille d’ailleurs sur mon prochain projet musical qui sera bientôt disponible. Également en dehors de la musique, j’ai d’autres rêves comme par exemple devenir un grand chef d’entreprise.

Très jolies ambitions ! K ZO serait-il tenté de faire des collaborations avec d’autres artistes ? Si oui les quels ?

Évidemment,  je rêve réaliser des featuring avec beaucoup d’artistes d’ici et d’ailleurs. D’abord, Je souhaiterai faire un feat avec Sonny Mitch, Magic Boy, Franko, Franky P, Locko, Mr Léo, Salatiel et bien d’autres encore. Tout en espérant que ces rêves se réaliseront un jour.

K-ZO, en ce moment où le monde entier connait un K.O suite à la crise sanitaire de Coranavirus, aurais tu un message à passer ?

Oui j’invite tous mes fans à lutter contre cette pandémie (Covid19) qui nous gêne, respectons les mesures prises par les autorités et l’OMS ainsi que des mesures d’hygiène. Aussi, j’aimerai que nous ayons une pensée pieuse pour ces personnes qui jusqu’ici en ont payé de leurs vie, afin qu’ils reposent en paix.

Merci K-ZO d’avoir été des nôtres, nous sommes arrivés à la fin de notre entretien. Un dernier mot à l’endroit de tes fans et ceux qui te découvrent ?

Premièrement, j’aimerai dit merci au tamtam du mboa de m’avoir accordé cet interview dans son journal. Big up également à son boss Olivier Charly. Pour ceux qui me suivent déjà (ma famille, mes amis mes fans), un grand merci pour leurs inconditionnel soutien. Quant à ceux qui me découvrent, je vous invite à vous abonner sur mes différentes plateformes justes en cliquant là : (Facebook, Intagram, Youtube)